Day 43 : Une loque, une vraie

Une journée repos intense. J'ai passé la journée à rien faire, mais vraiment rien.
Ca fait du bien de temps en temps.
J'essaye de me calmer sur les sorties resto et compagnie, parce que mine de rien, l'argent part très vite.

A oui, et évidemment, le jour où je dis que je veux me calmer sur les sorties, j'annonce que j'ai réservé tout à l'heure ma place pour aller voir Cali à La Tulipe, la salle dans laquelle j'avais fait la soirée Années 80.
Elle ressemble pas mal à l'Olympia, en plus petit. C'est un ancien théâtre. J'imagines que ça va être bien bien bien. Evidemment, je vais traficoter mon appareil photo pour réussir à prendre des photos "de nuit" d'ici là...
Le concert est prévu le 25 octobre.

Et demain, je vais essayer de me trouver des chaussures étanches pas chères.

(En photo, le Schweppes Gingembre-Framboise bien bon, et le Fluff -pâte à tartiner au goût de chamallow fondu-, qui est vraiment bon sur du pain grillé. Pour Valentin, même si le Schweppes est moyennement original)

Voilà, et là ça va être le monologue pseudo-dépressif du jour...
J'ai l'impression de plus compter pour grand monde en France, personne ne donne de ses nouvelles, personne ne prend des miennes. Je ne parle évidemment pas de Nico, Alice ou Tristan. Ni même de ma famille. Mais peut être bien de (presque) tous les autres.
J'ai besoin de me sentir soutenue, et j'ai pas l'impression de l'être vraiment. J'ai besoin de savoir que quand je reviendrai, y'aura toujours des gens pour qui je compte. Je peux pas en vouloir aux gens de continuer leur vie sans moi, mais évidemment... je suis vexée. Ou déçue. Je sais pas.