03/05/07
Bagages, bagages, bagages... Voilà à quoi se résume ma journée. J'ai clairement fait uniquement ça de l'après-midi. Je suis indécrottable pour le faisage de bagages, c'est définitif.
Quoi qu'il se passe, quel que soit le temps que je prévois en avance pour le faire, ils ne seront pas bouclés avant la dernière minute. C'est simple, je hais ça, et ça me fait monter à un niveau de stresse rarement atteint. Genre quand je fais mes valises, faut pas m'énerver, faut pas être chiant, sinon je pète un plomb. Je sais, c'est mal.
Bref, il est maintenant 1h40 du matin, et je commence à en voir le bout, mais ça ne sera évidemment pas fermé avant demain midi (j'ai besoin de ma trousse de toilette, et évidemment vue la place qu'elle prend, elle est un élément structurant pour la disposition de tout le reste). Il me reste aussi toutes mes chaussures (moins 3 paires, déjà casées, les plus petites évidemment -et là les hommes vont hurler "quooiiii t'as déjà rangé 3 paires et tu t'inquiètes encore pour savoir si tes pompes vont bien vouloir rentrer ?", ben oui, je sais, c'est mâââl, mais je suis une fille).
J'ai également organisé une donnation dans le salon : un sac plein de choses qui ne me serviront plus jamais (j'hésite à y mettre mon guide touristique de Toronto... Je m'en servirai plus, mais c'est sentimental c'est choses-là non ?)
Ah oui, et j'oubliais : je dois encore caser mes manteaux d'hiver... Vu comme c'est parti, je vais me retrouver avec mon manteau d'hiver sur le dos à Paris par 25°...
Mais finalement, je m'attendais à pire que ça (je m'attendais en fait à un réel désastre...)
En fin de journée, pour mon départ, mes proprios m'ont emenée au resto : Richtree (je vous en ai déjà parlé, c'est le resto avec un système de marché). Mes colocs français sont venus aussi, et puis deux amis à mes proprios (dont un qui venait souvent à la maison, donc que je connaissais). C'était cool, ça m'aurait un peu fait chier de partir comme ça, sans rien faire, sans rien dire, comme si j'avais été dans un hotel et c'est tout...
Voilà... J'ai demandé à Mathieu de me réveiller demain matin entre 8h et 8h30, pour pas dormir jusqu'au départ de mon avion... Et puis c'est cool, vue l'heure qu'il est maintenant (bientôt 2h finalement, et oui, je n'écris pas mes messages instantanément), je serai complètement claquée demain, et avec un peu de chance je dormirai dans l'avion !
Donc je pense que je repasserai ici demain, soit de l'aéroport soit avant de partir de la maison... Voilà, voilà...
(je réalise toujours pas que je pars)
Quoi qu'il se passe, quel que soit le temps que je prévois en avance pour le faire, ils ne seront pas bouclés avant la dernière minute. C'est simple, je hais ça, et ça me fait monter à un niveau de stresse rarement atteint. Genre quand je fais mes valises, faut pas m'énerver, faut pas être chiant, sinon je pète un plomb. Je sais, c'est mal.
Bref, il est maintenant 1h40 du matin, et je commence à en voir le bout, mais ça ne sera évidemment pas fermé avant demain midi (j'ai besoin de ma trousse de toilette, et évidemment vue la place qu'elle prend, elle est un élément structurant pour la disposition de tout le reste). Il me reste aussi toutes mes chaussures (moins 3 paires, déjà casées, les plus petites évidemment -et là les hommes vont hurler "quooiiii t'as déjà rangé 3 paires et tu t'inquiètes encore pour savoir si tes pompes vont bien vouloir rentrer ?", ben oui, je sais, c'est mâââl, mais je suis une fille).
J'ai également organisé une donnation dans le salon : un sac plein de choses qui ne me serviront plus jamais (j'hésite à y mettre mon guide touristique de Toronto... Je m'en servirai plus, mais c'est sentimental c'est choses-là non ?)
Ah oui, et j'oubliais : je dois encore caser mes manteaux d'hiver... Vu comme c'est parti, je vais me retrouver avec mon manteau d'hiver sur le dos à Paris par 25°...
Mais finalement, je m'attendais à pire que ça (je m'attendais en fait à un réel désastre...)
En fin de journée, pour mon départ, mes proprios m'ont emenée au resto : Richtree (je vous en ai déjà parlé, c'est le resto avec un système de marché). Mes colocs français sont venus aussi, et puis deux amis à mes proprios (dont un qui venait souvent à la maison, donc que je connaissais). C'était cool, ça m'aurait un peu fait chier de partir comme ça, sans rien faire, sans rien dire, comme si j'avais été dans un hotel et c'est tout...
Voilà... J'ai demandé à Mathieu de me réveiller demain matin entre 8h et 8h30, pour pas dormir jusqu'au départ de mon avion... Et puis c'est cool, vue l'heure qu'il est maintenant (bientôt 2h finalement, et oui, je n'écris pas mes messages instantanément), je serai complètement claquée demain, et avec un peu de chance je dormirai dans l'avion !
Donc je pense que je repasserai ici demain, soit de l'aéroport soit avant de partir de la maison... Voilà, voilà...
(je réalise toujours pas que je pars)
posted by Kokinelle at 1:38 AM
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